Le marché de l’art : un terrain fertile pour le blanchiment d’argent

Mise à jour le 2025-12-04 16:22:00 : En 2024, le marché mondial de l’art a atteint 57,5 milliards de dollars, attirant l’attention des criminels.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le marché de l’art, avec ses transactions à forte valeur, est devenu un outil pour le blanchiment d’argent. Les experts estiment que 2 à 5 % du PIB mondial est blanchi chaque année. Le manque de transparence et les évaluations subjectives rendent ce secteur particulièrement vulnérable.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : En 2024, le marché de l’art a généré 57,5 milliards de dollars.
Qui est concerné : Artistes, collectionneurs, et institutions artistiques.
Quand : En 2024, avec des évolutions réglementaires en cours.
Où : À l’échelle mondiale, avec des cas notables en Europe.

Chiffres clés

57,5 milliards de dollars : valeur du marché de l’art en 2024.
2 à 5 % : proportion du PIB mondial blanchie chaque année.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Renforcement des obligations de vérification d’identité pour les professionnels de l’art.
Démarches utiles : Vérification des transactions dépassant 10 000 euros.
Risques si vous n’agissez pas : Sanctions potentielles pour non-conformité.

Contexte

Le marché de l’art est souvent utilisé pour blanchir des fonds illicites. Des cas notables, comme celui d’une œuvre de Jean-Michel Basquiat, montrent comment des transactions peuvent masquer des activités criminelles. En 2024, une opération en Europe a saisi plus de 2 000 œuvres contrefaites, représentant une perte estimée à 200 millions d’euros.