Jean Imbert répond aux accusations de violences conjugales


Jean Imbert est accusé par pas moins de quatre ex-compagnes de violences conjugales, comme le révèle une enquête publiée par ELLE. Pas de quoi démonter son équipe de communication, qui a tenu à répondre de chaque attaque visant le vainqueur de Top Chef 2012.

Si les représentants réfutent une à une les accusations, ils ne nient pas les « dégradations volontaires » contre une plaignante. La jeune femme rapportait également avoir eu le nez fracturé. Jean Imbert reconnaît le coup de tête, qu’il « regrette », mais ses communicants nuancent.

« Cette scène intervient dans un moment de violences subies par Jean Imbert, alors qu’il était empoigné par X, et qu’il s’en dégageait. Il en regrette profondément les conséquences pour elle », indique la communication. Elle ajoute que « cette relation d’il y a plus de 10 ans était insoutenable, marquée par les insultes et les crises ».

Tristes interactions de couple

Concernant les pressions psychologiques dénoncées par l’une des autres femmes qui a témoigné dans ELLE, l’équipe estime que « tout cela s’inscrit manifestement dans le cadre d’une relation amoureuse, avec des particularités que l’on peut apprécier sur le plan moral ou pas si on a envie d’évaluer à cette aune les interactions d’un couple, mais qui étaient en tout cas parfaitement réciproques ».

Les tristes aléas d’un couple, en somme, qui auraient mené la relation à sa perte, « comme c’est le cas de milliers de relations », mais ne dessinent certainement pas un « schéma ».

Des SMS ont d’ailleurs été pointés, par lesquels elle aurait fait pression sur le chef étoilé pour qu’avorte son ex-compagne, ce que dément la jeune femme, qui explique avoir simplement demandé à Jean Imbert de prendre la décision de la quitter ou non.

Une autre plaignante reproche à Jean Imbert des insultes et dénigrements, mais la communication du chef assure qu’il s’agit d’« attitudes plus ou moins saines, des névroses, ou même des emportements, qui ne constituent pas l’exercice de violences psychologiques », et qui « existent ici comme partout ». Pas de quoi faire de Jean Imbert un « bourreau » selon les représentants de celui qui est à la tête du Plaza Athénée à Paris et qui vient d’obtenir une étoile Michelin pour La Palme d’Or, à Cannes.

Quant aux humiliations concernant le style vestimentaire de la jeune femme, l’équipe estime qu’il s’agit simplement « de discussions au sein d’un couple. Une femme peut dire à son mari qu’elle le préfère en bleu ou en rouge, qu’elle le trouve négligé en jogging ou qu’il a besoin de rafraîchir sa coupe de cheveux. Les échanges auxquels vous faites référence sont de cet acabit et ne contiennent pas la moindre trace d’agressivité », assure les communicants. Selon eux, Jean Imbert aurait lui-même été la cible de harcèlement, ayant reçu de la part de cette ex-conjointe des « dizaines des lettres d’amour et des cadeaux sur son lieu de travail après leur rupture ».



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