Sahara occidental : l’ONU soutient le plan d’autonomie marocain

Introduction : Le 31 octobre 2025, le Conseil de sécurité de l’ONU a voté en faveur du plan d’autonomie proposé par le Maroc pour le Sahara occidental. Cette décision marque un tournant significatif dans un conflit vieux de 50 ans, malgré l’opposition de l’Algérie. Les enjeux géopolitiques sont énormes et les réactions ne se sont pas fait attendre.

Ce qu’il faut retenir

Le Conseil de sécurité de l’ONU a approuvé le plan marocain d’autonomie, le qualifiant de “solution la plus réalisable”.
Ce vote a été le résultat de négociations intenses, avec 11 voix pour et 3 abstentions, sans aucun veto.
La Russie, bien que proche de l’Algérie, a choisi de s’abstenir, provoquant la colère d’Alger.
L’Algérie a dénoncé ce vote comme une rupture avec la doctrine de l’ONU sur la décolonisation.
Le soutien américain, notamment sous l’administration Trump, a été déterminant dans ce processus.

Faits vérifiés

Le soutien du Conseil de sécurité à l’autonomie marocaine a été rapporté par plusieurs médias, dont France 24, AFP et Reuters. Ces sources confirment que ce vote représente un changement de position significatif par rapport aux résolutions précédentes sur le Sahara occidental.

Le détail qui fait réagir

Le vote a suscité une attention particulière car il a été le premier à reconnaître le plan marocain comme base de négociation, un fait qui pourrait redéfinir les relations entre le Maroc et l’Algérie.

Réactions officielles et citations

« Ce vote est un grand pas pour la reconnaissance à terme de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. » — Sara Anderson, correspondante à New York, 31 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette décision du Conseil de sécurité pourrait avoir des répercussions profondes sur la dynamique régionale en Afrique du Nord. Le soutien à l’autonomie marocaine pourrait renforcer la position de Rabat tout en exacerbant les tensions avec l’Algérie, qui soutient l’indépendance du territoire. Ce vote souligne également l’influence croissante des États-Unis dans la région, un facteur qui pourrait redéfinir les alliances traditionnelles.