Japon : l’Unesco et les femmes de réconfort en attente de reconnaissance
Mise à jour le 2025-11-14 05:40:00 : Les femmes de réconfort, survivantes de la Seconde Guerre mondiale, attendent depuis huit ans une reconnaissance de leur souffrance par l’Unesco.
Ces femmes, âgées de plus de 95 ans, vivent éparpillées entre plusieurs pays d’Asie. Elles sont les dernières victimes connues de la machine de guerre nippone. Leur attente soulève des questions sur la mémoire et la reconnaissance des atrocités passées. L’Unesco doit décider si elle enregistrera leurs témoignages, un geste symbolique mais crucial pour leur mémoire.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Les femmes de réconfort, victimes d’esclavage sexuel, attendent une reconnaissance de l’Unesco.
- Qui est concerné : Les survivantes de la guerre de Quinze Ans (1931-1945).
- Quand : Non précisé.
- Où : Corée du Sud, Indonésie, Philippines, Chine.
Contexte
Ces femmes, enrôlées de force dans les bordels de l’armée impériale japonaise, n’ont reçu aucune réparation. Elles attendent un simple enregistrement de leurs témoignages. Le programme Mémoire du monde de l’Unesco vise à protéger et rendre accessibles des patrimoines documentaires essentiels. Ce programme pourrait constituer une étape importante pour la reconnaissance de leur souffrance.
Sources
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Date de publication : 2025-11-14 05:40:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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