L’Iran face à une sécheresse historique : un appel à l’aide

Introduction : Ce 1er décembre 2025, le Maroc accueille le dix-neuvième congrès mondial de l’eau, un événement crucial alors que l’Iran traverse l’une des sécheresses les plus sévères de son histoire. Avec des températures en hausse et des ressources en eau qui s’amenuisent, le pays est en état d’urgence. Les prières pour la pluie résonnent dans les rues, témoignant d’une crise qui dépasse les frontières.

Ce qu’il faut retenir

L’Iran connaît sa sécheresse la plus grave depuis 60 ans, avec des lacs à des niveaux alarmants.
Les températures en Iran augmentent trois fois plus vite que la moyenne mondiale, exacerbant la crise hydrique.
Les habitants de Téhéran font face à des pénuries d’eau pour les besoins quotidiens, avec une qualité d’eau souvent douteuse.
Le président iranien a averti que sans pluie, des évacuations pourraient être nécessaires dans la capitale.
Ce congrès mondial de l’eau met en lumière les défis de la gestion des ressources hydriques à l’échelle mondiale.

Faits vérifiés

Des médias comme France 24 et l’AFP rapportent que l’Iran est confronté à des conditions climatiques extrêmes, avec des conséquences désastreuses sur l’approvisionnement en eau. Les relevés montrent que la situation n’a jamais été aussi critique, avec des lacs essentiels pour la capitale atteignant des niveaux historiquement bas.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre frappant : l’Iran subit son automne le plus sec depuis 50 ans, une réalité qui pousse les citoyens à prier pour la pluie, une pratique devenue courante face à l’absence de solutions immédiates.

Réactions officielles et citations

« Nous n’avons jamais eu de telles prières. C’est inhabituel. » — Un habitant de Téhéran, 1er décembre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation en Iran souligne l’impact dévastateur du changement climatique sur les ressources en eau, un enjeu politique et social majeur. Le congrès mondial de l’eau se déroule dans un contexte où les pays doivent collaborer pour faire face à ces défis croissants. L’attention médiatique autour de cette crise pourrait inciter à des actions concrètes pour améliorer la gestion de l’eau à l’échelle mondiale.