
Le 14 avril dernier, Meta, maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, créait le choc. Elle annonçait qu’elle allait se servir dans tous les contenus publiés par ses utilisateurs pour entraîner ses services d’intelligence artificielle. Avec le risque, pour les accros de Facebook ou Instagram, que son agent Meta AI fasse mauvais usage de leurs publications ou les divulgue à d’autres.
Pour les utilisateurs, c’est une perte de contrôle majeure des données. Mais Meta n’est pas le seul à blâmer: ChatGPT, X, Google ou encore Microsoft tentent tous d’aspirer, par défaut, tout ce que nous écrivons. Mais il existe certains moyens pour les en empêcher. Ils ne sont sans doute pas infaillibles, mais il est difficile de faire davantage – à moins de quitter totalement ces services, évidemment.
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