Amnesty International met en garde : le droit à l’avortement en Europe est menacé

Mise à jour le 2025-11-06 09:50:00 : Amnesty International alerte sur les menaces croissantes pesant sur le droit à l’avortement en Europe.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le droit à l’avortement en Europe est en péril. Amnesty International souligne que des réformes récentes ne suffisent pas à garantir un accès universel à l’IVG. Les obstacles persistent et menacent la santé et les droits des femmes.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Amnesty International signale des menaces sur le droit à l’avortement en Europe.
Qui est concerné : Les femmes en Europe, les professionnels de santé.
Quand : Rapport publié le 6 novembre 2025.
Où : Dans plusieurs pays européens, dont l’Allemagne, l’Italie et la Pologne.

Chiffres clés

Plus de 10 pays, dont l’Allemagne et l’Autriche, jugent le coût de l’IVG « prohibitif ».
Un nombre élevé de professionnels de santé en Italie et en Croatie refusent de pratiquer l’IVG.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : L’accès à l’IVG devient de plus en plus difficile.
Démarches utiles : Vérifiez les ressources locales pour l’accès à l’IVG.
Risques si vous n’agissez pas : Retards dans l’accès aux soins de santé reproductive.
Exceptions : Certaines régions peuvent avoir des protections plus fortes.

Contexte

Amnesty International a publié un rapport sur la situation des droits reproductifs en Europe. Malgré des avancées, des obstacles administratifs et sociaux persistent. Des pays comme l’Allemagne et l’Autriche font face à des coûts élevés pour l’IVG, tandis que d’autres, comme l’Italie, voient un nombre croissant de professionnels refusant de pratiquer l’avortement.

Ce qui reste à préciser

Les réformes récentes ne garantissent pas un accès égal à l’IVG.
Les pressions politiques et militantes augmentent.

Citation

« Des victoires durement acquises en matière de droits reproductifs courent un risque grave d’être compromises par une vague de politiques régressives. » — Amnesty International, 6 novembre 2025.