Hamas accepte le plan Trump : un tournant inattendu pour Gaza

Introduction : Le 3 octobre 2025, un développement surprenant a émergé de Gaza : le Hamas a exprimé sa volonté de libérer tous les otages dans le cadre du plan de paix proposé par Donald Trump. Cette annonce pourrait marquer un tournant dans le conflit israélo-palestinien, après deux années de tensions intenses. Notre correspondante à Jérusalem fait le point sur cette situation inédite.

Ce qu’il faut retenir

Le Hamas a déclaré être prêt à libérer tous les otages, vivants et décédés.
Le mouvement islamiste demande que la gestion de Gaza soit confiée à des forces palestiniennes, non à des troupes internationales.
Cette acceptation pourrait compliquer la position de Netanyahu, qui avait promis la destruction du Hamas.
Le plan de paix prévoit une libération des otages dans les 72 heures suivant l’accord.
Cette annonce coïncide avec le deuxième anniversaire de l’attaque du Hamas contre Israël, une date symbolique.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables comme France 24 et l’AFP, le Hamas a formellement accepté le plan de paix américain, ce qui était inattendu. Ce plan, déjà validé par Israël, stipule la libération des otages en échange d’une gestion palestinienne de Gaza. Les détails de cette déclaration ont été largement couverts par des médias tels que Reuters et Le Monde, soulignant l’importance de ce moment dans le contexte du conflit.

Le détail qui fait réagir

Ce qui frappe dans cette annonce, c’est l’engagement du Hamas à libérer tous les otages, une promesse qui pourrait changer la dynamique du conflit. Ce geste, bien que conditionné, représente un pas significatif vers une résolution pacifique.

Réactions officielles et citations

« Ce presque oui du Hamas est un tournant, mais il reste des obstacles à surmonter. » — Correspondante à Jérusalem, 3 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette annonce pourrait avoir des implications profondes pour la politique israélienne et palestinienne. En acceptant de libérer les otages, le Hamas semble vouloir renforcer sa position sur la scène internationale tout en exerçant une pression sur le gouvernement israélien. Pour Netanyahu, accepter cet accord pourrait être perçu comme un revers, alors que la population israélienne réclame la fin des hostilités. Ce développement soulève des questions sur la viabilité d’une paix durable au Proche-Orient.