Gérard Larcher défend la stabilité politique face à la crise

Introduction : Le 2 septembre 2025, Gérard Larcher, président du Sénat, a été l’invité du journal de 20h. Dans un contexte politique tendu, il a exprimé son désaccord avec l’idée d’une dissolution ou d’une démission du président Macron, appelant à un dialogue plus approfondi.

Ce qu’il faut retenir

Gérard Larcher s’oppose à une dissolution de l’Assemblée nationale, contrairement à Nicolas Sarkozy.
Il a souligné l’importance d’une consultation plus longue entre le président et les institutions.
Le diagnostic sur l’endettement du pays est partagé, mais la méthode de François Bayrou a été critiquée.
Les tensions au sein de son parti, Les Républicains, se font sentir, avec des avis divergents sur la confiance au gouvernement.
Une journée de mobilisation est prévue le 10 septembre, reflétant l’inquiétude croissante des Français.

Faits vérifiés

Gérard Larcher a affirmé qu’il n’est pas favorable à une dissolution, soutenant que cela ne clarifierait pas la situation politique. Cette position a été confirmée par plusieurs médias, dont Franceinfo et Le Monde, qui rapportent également les inquiétudes croissantes concernant l’endettement national, qui dépasse les 3300 milliards d’euros.

Le détail qui fait réagir

Une phrase choc de Larcher a particulièrement retenu l’attention : « Je ne suis pas certain qu’une nouvelle dissolution conduise à une clarification. » Cette déclaration souligne les incertitudes qui pèsent sur l’avenir politique du pays.

Réactions officielles et citations

« J’espère que le président de la République nous consultera un peu plus longuement que la fois dernière. » — Gérard Larcher, Président du Sénat, 2 septembre 2025.

Analyse & Contexte

La déclaration de Larcher intervient dans un climat de crise politique, où les tensions entre le gouvernement et l’opposition sont palpables. Son appel à la stabilité et au dialogue est perçu comme une tentative de préserver les institutions de la Cinquième République, alors que les Français expriment leur mécontentement à travers des mobilisations. Cette situation met en lumière les défis auxquels le gouvernement fait face pour maintenir la confiance du public et gérer les finances publiques.