Gaz, finance : comment l’Europe pourrait renforcer les sanctions contre la Russie


3 ans de sanctions, de réunions, de blocages et de négociations. Depuis l’invasion de l’Ukraine, la Russie est ciblée par les capitales occidentales. Mais depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, ce bloc est fragilisé par la volonté du président américain de négocier un accord de paix coûte que coûte.

À la fin de mars dernier, Ukraine, États-Unis et Russie sortaient d’un round de négociation à Riyad avec une trêve des hostilités en Mer noire, à condition que Moscou soit reconnecté au réseau de paiement Swift. Depuis, les relations entre Donald Trump et son homologue Vladimir Poutine se sont détériorées et les promesses de levée des sanctions semblent s’envoler. Lundi, Emmanuel Macron a même promis que «d’accroître la pression sur la Russie » dans les 8 à 10 jours prochains, estimant avoir « convaincu les Américains de la possibilité d’une escalade des menaces, et potentiellement de sanctions » contre Moscou.

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