Face à la crise, certaines entreprises “survivent” grâce aux exportations

Mise à jour le 2025-11-07 02:27:00 : Alban Goullet-Allard, dirigeant d’Isotechnic, souligne que l’exportation est devenue essentielle pour la survie des entreprises. Cette année, les exportations représentent déjà près de 15 % de son chiffre d’affaires.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Face à une crise économique exacerbée par des violences insurrectionnelles, de nombreuses entreprises calédoniennes se tournent vers l’exportation pour maintenir leur activité. Alban Goullet-Allard, à la tête de la société Isotechnic, a constaté que l’ouverture vers les marchés extérieurs a permis de remettre ses équipes au travail. Les exportations de couvertures isolantes vers le Vanuatu et la Polynésie française illustrent cette stratégie. La réputation de la fabrication calédonienne, bien adaptée aux conditions climatiques locales, est un atout face à la concurrence asiatique.

Ce qu’il faut savoir

• Le fait : Les exportations représentent près de 15 % du chiffre d’affaires d’Isotechnic.
• Qui est concerné : Les entreprises calédoniennes, en particulier celles du secteur de la fabrication.
• Quand : 2025.
• Où : Nouvelle-Calédonie.

Chiffres clés

• 15 % : part des exportations dans le chiffre d’affaires d’Isotechnic pour l’année 2025.

Concrètement, pour vous

• Ce qui change : Les entreprises doivent envisager l’exportation pour survivre économiquement.
• Démarches utiles : Évaluer les marchés extérieurs et établir des partenariats.

Contexte

Depuis dix ans, le cluster NCT&I (New Caledonia Trade & Invest) travaille à diversifier l’économie calédonienne en favorisant l’exportation. Dans un contexte de morosité économique, les entreprises qui se tournent vers l’international semblent mieux résister aux difficultés. Denis Etournaud, coprésident du cluster, affirme que cette ouverture est une bouffée d’oxygène pour les entreprises.

L’ouverture à l’international, “une bouffée d’oxygène”

Cet exemple n’est qu’une illustration du travail que mène depuis dix ans le cluster NCT&I (New Caledonia Trade & Invest), qui milite pour une diversification de l’économie calédonienne et de ses débouchés, davantage tournés vers l’export. Dans le contexte de morosité économique actuel, accentué par les violences du 13-Mai, les représentants de ce cluster l’affirment : les sociétés calédoniennes avec une partie de leur activité tournée vers l’extérieur “traversent mieux” cette période difficile. “Leur ouverture à l’international est une véritable bouffée d’oxygène et de plus en plus d’entreprises, jusque-là centrées sur la Nouvelle-Calédonie, n’ont plus le choix que de se tourner vers l’export, assure Denis Etournaud, coprésident du cluster, pour qui NCT&I, qui compte 80 sociétés adhérentes, doit aussi favoriser les échanges et donc ouvrir des passerelles entre les sociétés expérimentées dans ce domaine et celles qui tentent de se lancer. Objectif : “ancrer” l’export comme une “véritable filière d’avenir” dans le pays.

Antoine de Plams, Denis Etournaud, Cédric Esteve (au premier plan), Alban Goullet-Alard, Aurore Klepper et Sylvain Castel, membres de NCT & I ont convié la presse, jeudi 6 novembre, pour dresser le bilan des dix ans d’existence du cluster. Photo Anthony Tejero

Sources

Source : LNC

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Date de publication : 2025-11-07 02:27:00

Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.

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