27.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 2 Views 0 Comments

Expulsion d’Elena Mistrello : refoulée à Toulouse, classée «menace grave» pour secret‑défense

Mise à jour le 2025-11-27 17:16:00 : L’autrice italienne Elena Mistrello a été refoulée à Toulouse et désignée « menace grave » selon Libération.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

L’essentiel : Elena Mistrello, dessinatrice italienne, a été empêchée d’entrer en France.
Le motif indiqué relève du « secret‑défense », selon Libération.
Cela touche directement les auteurs, festivals et organisateurs culturels.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Elena Mistrello a été refoulée à son arrivée à Toulouse.
Qui est concerné : l’autrice, les festivals de BD et les organisateurs culturels.
Quand : information publiée le 27 novembre 2025.
Où : Toulouse, France.

Chiffres clés

Publication de l’article : 27 novembre 2025, 17:16 (heure de la source).

Concrètement, pour vous

Ce qui change : des artistes étrangers peuvent être refoulés pour « menace grave ».
Démarches utiles : contacter l’organisateur du festival pour informations pratiques.
Risques si vous n’agissez pas : annulation de participation ou absence de représentation.
Exceptions : le détail des motifs n’est pas communiqué en raison du « secret‑défense ».

Contexte

Selon Libération, les autorités ont classé Elena Mistrello comme « menace grave pour l’ordre public ».
Les motifs invoqués sont couverts par le « secret‑défense », empêchant toute révélation publique.
La mesure a entraîné son refoulement à Toulouse alors qu’elle venait pour un festival de bande dessinée.

Ce qui reste à préciser

Quelle autorité précise a pris la décision (préfecture, ministère, police).
Le contenu exact des motifs classés « secret‑défense » et la possibilité de recours.

Citation

« Refoulée à Toulouse alors qu’elle venait pour un festival de BD, l’autrice du «Syndrome Italie» est considérée comme une «menace grave pour l’ordre public» en France, pour des motifs couverts par le «secret‑défense». » — Libération, 27 novembre 2025.