05.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 7 Views 0 Comments

Europe et France: faire de la « souveraineté numérique » une obsession prioritaire

Mise à jour le 2025-12-04 08:00:00 : les auteurs disent avoir rencontré l’équipe française de Palantir. L’article plaide pour une « souveraineté numérique » centrale en Europe et en France.

Les auteurs expliquent avoir rencontré l’équipe française de Palantir Technologies. Le sujet central est la « souveraineté numérique » et la dépendance aux fournisseurs étrangers. L’enjeu touche nos données, la sécurité et des secteurs industriels clés. Les détails techniques et politiques ne sont pas tous accessibles dans l’extrait public.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Palantir est présenté, rencontre à l’appui, comme un acteur majeur dont l’usage nourrit le débat sur la souveraineté numérique.
Qui est concerné : services de renseignement européens (dont la DGSI), grandes entreprises citées (Airbus, Stellantis, Sanofi), décideurs publics.
Quand : publication le 4 décembre 2025.
Où : Europe et France.

Chiffres clés

2003 — année de création de Palantir (contexte post-11-Septembre 2001).
« Des dizaines » — ordre de grandeur des services de renseignement européens clients.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : non précisé dans l’extrait public.
Démarches utiles : non précisées.
Risques si vous n’agissez pas : dépendance accrue à des solutions étrangères, enjeux sur l’accès et la protection des données.
Exceptions : non précisées.

Contexte

Palantir, créé en 2003 « en réaction aux attentats du 11-Septembre », a vendu sa plateforme d’analyse et de surveillance à des services de renseignement européens, dont la DGSI. De grandes entreprises, comme Airbus, Stellantis ou Sanofi, l’utilisent pour résoudre des bugs, détecter des fraudes et améliorer leur performance. Palantir déplore son image de « vilain » américain et affirme ne pas traiter elle-même les données de ses clients.