Engagement des jeunes : des missions à fort impact pour l’avenir

Introduction : Le 9 octobre 2025, à Toulouse, Nadia Bellaoui, présidente de l’Agence du Service Civique, a souligné l’importance d’impliquer les jeunes dans des missions à fort impact. Avec 150 000 jeunes touchés chaque année, elle affirme que cette génération aspire à s’engager pour un avenir meilleur. Ses propositions visent à transformer cet engagement en une véritable force de changement.

Ce qu’il faut retenir

150 000 jeunes participent chaque année à des missions d’engagement en France.
Proposition d’une année de césure pour encourager l’engagement social et écologique.
Création d’un service civique écologique pour répondre aux préoccupations climatiques des jeunes.
Les jeunes recherchent un sens dans leurs actions et souhaitent se sentir utiles.
Le bénévolat est inégalitaire, influencé par l’environnement familial et social.

Faits vérifiés

Les déclarations de Nadia Bellaoui ont été corroborées par des médias tels que France 24 et Le Monde, qui rapportent que l’engagement des jeunes est en forte hausse. En 15 ans, 875 000 jeunes ont consacré 8 mois à des missions d’intérêt général, illustrant leur désir d’implication dans des causes significatives.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : 875 000 jeunes ont déjà pris part à des missions d’intérêt général, prouvant ainsi leur volonté de contribuer activement à la société. Ce chiffre souligne l’énorme potentiel d’engagement de cette génération.

Réactions officielles et citations

« Pour que les jeunes s’engagent, il faut leur offrir des missions qui ont du sens. » — Nadia Bellaoui, présidente de l’Agence du Service Civique, 9 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette initiative de Nadia Bellaoui s’inscrit dans un contexte où les jeunes sont de plus en plus préoccupés par les enjeux environnementaux et sociaux. En proposant des missions à fort impact, l’Agence du Service Civique répond à une demande croissante d’engagement significatif. Cela pourrait également influencer les politiques publiques en matière d’éducation et d’engagement civique, rendant l’année de césure une réalité en France.