Donbass: Pokrovsk sous pression, Kiev résiste, l’Europe renforce ses livraisons d’armes

Mise à jour le 2025-11-04 11:40:00 : combats intenses à Pokrovsk, gains russes limités en octobre, aide européenne soutenue.

La Russie pousse dans le Donbass, l’Ukraine tient ses positions. Pokrovsk concentre les combats et reste stratégique pour les deux camps. Les réseaux énergétiques sont visés alors que l’hiver approche.

Pourquoi c’est clé pour vous : l’énergie pèse sur le pouvoir d’achat européen. Des frappes et des sanctions peuvent influer les approvisionnements et les prix. En France, le débat se poursuit sur un renfort de la protection aérienne ukrainienne.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Moscou progresse lentement, Kiev affirme contenir à Pokrovsk.
Qui est concerné : civils ukrainiens, acteurs énergétiques, partenaires européens.
Quand : octobre 2025 et soirée du 3 novembre 2025 à Paris.
Où : région de Donetsk, Pokrovsk, impacts énergétiques jusqu’en Europe.

Chiffres clés

461 km² conquis par la Russie en octobre 2025.
200 membres des forces spéciales envoyés à Pokrovsk, selon Kiev.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : rien d’immédiat en France, mais vigilance sur l’énergie.
Démarches utiles : suivre les annonces officielles françaises et européennes.
Risques si vous n’agissez pas : absence d’anticipation face à une possible tension des prix.
Exceptions : aucune décision française nouvelle n’est actée à ce stade.

Contexte

Pokrovsk, nœud de communication vidé de ses 60 000 habitants, reste disputée. Kiev nie toute chute ou encerclement et dit contrer des infiltrations russes.

L’Institut pour l’étude de la guerre recense des gains russes en octobre. Les frappes contre le réseau électrique ukrainien se sont intensifiées.

L’Ukraine vise des installations énergétiques russes pour perturber la logistique. Des acheteurs étrangers réduisent provisoirement leurs achats d’hydrocarbures russes.

Le soutien européen demeure : Patriot fournis par l’Allemagne, Storm Shadow réapprovisionnés par Londres. Washington n’a pas encore livré de Tomahawk.

À Paris, le 3 novembre, Skyshield France a plaidé pour protéger le ciel de l’ouest ukrainien. La décision est jugée prématurée faute de moyens et par crainte d’escalade.