Découverte de phosphine sur une naine brune : un indice de vie extraterrestre ?

Mise à jour le 2025-11-04 18:56:00 : De la phosphine, molécule potentiellement liée à la vie, a été détectée sur la naine brune Wolf 1130C.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Une équipe internationale, dirigée par l’astrophysicien Adam Burgasser, a détecté de la phosphine dans l’atmosphère de Wolf 1130C. Cette découverte pourrait avoir des implications majeures pour notre compréhension de la vie au-delà de la Terre.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : La phosphine a été détectée sur une naine brune, une première.
Qui est concerné : Les astrophysiciens et les exobiologistes.
Quand : Découverte publiée le 2 octobre 2025.
Où : Wolf 1130C, situé à 54 années-lumière du Soleil.

Chiffres clés

327°C : Température de Wolf 1130C, inférieure à celle de Vénus.
0.00001 % : Concentration de phosphine mesurée.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Une nouvelle perspective sur les biosignatures extraterrestres.
Démarches utiles : Suivre les recherches en exobiologie.
Risques si vous n’agissez pas : Manquer des avancées scientifiques majeures.

Contexte

La phosphine est un gaz toxique, mais elle est aussi considérée comme une biosignature. Sa détection dans l’atmosphère de Wolf 1130C, une naine brune, pourrait indiquer des processus chimiques similaires à ceux observés sur d’autres corps célestes comme Vénus, Jupiter et Saturne. Cette découverte a été rendue possible grâce au télescope James Webb, qui a permis d’analyser la lumière de l’étoile pour identifier la présence de phosphine.

Ce qui reste à préciser

Les implications exactes de cette découverte pour la recherche de vie extraterrestre.
Les conditions spécifiques de formation de la phosphine sur Wolf 1130C.

Citation

« Dans l’atmosphère appauvrie en métaux de Wolf 1130C, il n’y a pas assez d’oxygène pour absorber le phosphore, ce qui permet à la phosphine de se former à partir de l’hydrogène abondant. » — Adam Burgasser, 2025