Cyberharcèlement contre Brigitte Macron : dix personnes jugées à Paris, réquisitions avec sursis

Mise à jour le 2025-11-02 19:43:00 : dix personnes jugées à Paris pour cyberharcèlement visant Brigitte Macron ; le parquet a requis trois à douze mois avec sursis.

Alerte : Moins de deux sources indépendantes et reconnues ont été identifiées dans le texte fourni. Vérifiez les confirmations externes avant diffusion.

Un procès a eu lieu à Paris, selon l’article fourni.
Dix personnes y sont mises en cause pour cyberharcèlement.
Le parquet a formulé des réquisitions allant de trois à douze mois avec sursis.

Ce qu’il faut savoir

• Le fait : Dix personnes jugées pour avoir cyberharcelé Brigitte Macron via une théorie du complot.
• Qui est concerné : Brigitte Macron, sa famille et le public exposé aux rumeurs en ligne.
• Quand : Mentionné dans l’article comme « en début de semaine dernière » (article daté 2025-11-02 19:43:00).
• Où : Procès tenu à Paris, France.

Chiffres clés

• 10 personnes jugées (selon l’article fourni).
• Réquisitions : de 3 à 12 mois de prison avec sursis (selon le parquet cité).
• Référence d’appel citée : une procédure évoquée comme « en juillet dernier » dans l’article fourni.

Concrètement, pour vous

• Ce qui change : Ce procès illustre les limites des poursuites contre les rumeurs en ligne.
• Démarches utiles : Documenter les messages, conserver captures et horodatages, consulter un avocat spécialisé.
• Risques si vous n’agissez pas : La rumeur peut se diffuser et toucher des proches, y compris des enfants.
• Exceptions : L’article indique que certains propos ont été judiciairement qualifiés « de bonne foi » en appel.

Contexte

L’article note que plusieurs prévenus ont invoqué le droit à la satire.
Il précise aussi qu’en juillet dernier Brigitte Macron a été déboutée en appel d’une précédente procédure.
Les personnes citées dans le texte incluent Amandine Roy et Natacha Rey, avec des notices publiées sur le même site.

Ce qui reste à préciser

• Le verdict final du procès (l’article mentionne les réquisitions, pas la décision).
• Vérifications indépendantes auprès de médias ou d’acteurs judiciaires tiers.

Citation

« Le harcèlement est un jeu du « pile je gagne, face tu perds ». » — Conspiracy Watch, article du 2025-11-02 19:43:00.

Sources

Source : Conspiracy Watch — article principal (fourni)

Source : Conspiracy Watch — notice Amandine Roy (fournie)

Source d’origine : Voir la publication initiale

Date : 2025-11-02 19:43:00 — Site : www.conspiracywatch.info

Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets

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Publié le : 2025-11-02 19:43:00 — Slug : harcelez-harcelez-il-en-restera-toujours-quelque-chose-conspiracy-watch-lobservatoire-du-conspirationnisme

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