Côte d’Ivoire et Bénin : Élections sous tension, l’opposition en péril ?

Introduction : Le 19 octobre 2025, lors de l’émission New World Forum, les experts ont analysé la situation politique tendue en Côte d’Ivoire et au Bénin à l’approche des élections présidentielles. Les tensions montent alors que l’opposition semble “empêchée” de participer. Quelles conséquences pour la démocratie dans ces deux pays ?

Ce qu’il faut retenir

Les élections en Côte d’Ivoire sont prévues pour le 25 octobre 2025, suivies par celles du Bénin en avril 2026.
Des marches pacifiques ont été interdites en Côte d’Ivoire, suscitant des inquiétudes sur la liberté d’expression.
Les acteurs politiques semblent plus préoccupés par le pouvoir que par la légitimité démocratique.
Le climat politique est marqué par des accusations de manipulation et d’exclusion des candidats de l’opposition.
Les experts appellent à un dialogue urgent pour éviter une escalade de la violence.

Faits vérifiés

Les tensions politiques en Côte d’Ivoire et au Bénin sont corroborées par plusieurs médias, dont l’AFP et France 24. En Côte d’Ivoire, les interdictions de manifestations ont été rapportées, tandis qu’au Bénin, des préoccupations ont été soulevées concernant le système de parrainage qui exclut certains candidats. La situation est décrite comme un “climat tendu” par plusieurs analystes.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : 3 000 morts lors des violences électorales passées en Côte d’Ivoire, rappelé par les intervenants, souligne l’urgence d’un dialogue pacifique pour éviter un nouveau cycle de violence.

Réactions officielles et citations

« La Côte d’Ivoire doit éviter les violences, car cela pourrait entraîner des conséquences graves pour tous. » — Didier Nurinou, Expert politique, 19 octobre 2025.

Analyse & Contexte

La situation actuelle en Côte d’Ivoire et au Bénin met en lumière les défis de la démocratie en Afrique. Les élections sont souvent perçues comme des luttes de pouvoir plutôt que comme des opportunités de changement. Ce climat de méfiance et d’exclusion pourrait avoir des répercussions sur la stabilité régionale, attirant l’attention des observateurs internationaux.