14.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 3 Views 0 Comments

La santé mentale des jeunes : un enjeu crucial pour 2025

Mise à jour le 2025-11-13 12:57:00 : Le CESE alerte sur la dégradation de la santé mentale des jeunes et propose des mesures controversées.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a récemment proposé un état des lieux de la santé mentale des jeunes, un sujet devenu une grande cause nationale pour 2025. Les indicateurs de santé mentale des jeunes de 12 à 18 ans se sont dégradés ces dernières années, ce qui a conduit le CESE à formuler plusieurs recommandations.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le CESE a rendu un avis sur la santé mentale des jeunes, adoptant des recommandations à 111 voix pour et 2 abstentions.
Qui est concerné : Les jeunes de 12 à 18 ans et les professionnels de la santé mentale.
Quand : Avis rendu en octobre 2025.
Où : France.

Chiffres clés

85 % des psychologues refusent la proposition de quotas.
15 % des psychologues libéraux ont adhéré au dispositif Mon soutien psy au 28 février 2025.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Proposition d’instaurer des quotas de psychologues dans certaines zones.
Démarches utiles : Suivre les recommandations du CESE pour les politiques publiques.
Risques si vous n’agissez pas : Détérioration de la santé mentale des jeunes.

Contexte

Le CESE, qui conseille le gouvernement depuis 1925, a pour mission d’intégrer la parole des citoyens dans les politiques publiques. La santé mentale des jeunes est un sujet crucial, abordant des thèmes comme le bien-être, le rythme scolaire et la lutte contre les discriminations.

Ce qui reste à préciser

Impact des quotas sur la qualité des soins.
Réactions des professionnels de santé face aux nouvelles mesures.

Citation

« Passer du volontariat à la contrainte. Imposer des quotas dans un dispositif que 85 % des psychologues refusent, c’est nier la réalité du soin psychique et menacer la liberté d’exercice. » — Syndicat national des psychologues, 2025.