Centrafrique : La nationalité d’Anicet Georges Dologuélé annulée

Introduction : Le 17 octobre 2025, la justice centrafricaine a pris une décision sans précédent en annulant la nationalité d’Anicet Georges Dologuélé. Ce revirement soulève des questions cruciales sur les droits civiques et l’avenir politique de l’ancien candidat à la présidence. Un événement qui pourrait redéfinir le paysage politique du pays.

Ce qu’il faut retenir

La justice centrafricaine a annulé la nationalité d’Anicet Georges Dologuélé, un acte inédit.
Cette décision pourrait avoir des répercussions majeures sur la scène politique locale.
Dologuélé, figure de proue de l’opposition, perd ainsi ses droits civiques.
La décision a suscité des réactions vives au sein de la population et des observateurs internationaux.
Le contexte politique en Centrafrique est déjà tendu, et cette annulation pourrait aggraver les tensions.

Faits vérifiés

Des médias tels qu’AFP et France 24 ont confirmé que la décision de la justice a été motivée par des accusations de fraude sur les documents de nationalité. Cette annulation a été perçue comme une manœuvre politique visant à affaiblir l’opposition. Les implications de cette décision sont encore à évaluer, mais elle a déjà provoqué une onde de choc dans le pays.

Le détail qui fait réagir

Ce qui frappe, c’est que Dologuélé, un ancien candidat à la présidence, a désormais perdu tous ses droits civiques, ce qui pourrait le rendre inéligible pour toute fonction publique future.

Réactions officielles et citations

« Cette décision est une atteinte directe aux droits humains et à la démocratie en Centrafrique. » — Marie-Louise Kébé, Avocate, 17 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette annulation de nationalité soulève des enjeux politiques majeurs. En effet, Dologuélé est une figure emblématique de l’opposition, et sa marginalisation pourrait renforcer le pouvoir en place. Ce développement met en lumière les tensions croissantes entre le gouvernement et l’opposition, et pourrait inciter à des manifestations populaires. La situation en Centrafrique, déjà fragile, pourrait ainsi se détériorer davantage.