Brigitte Macron : La rumeur qui ne veut pas mourir

Introduction : Le procès pour cyberharcèlement de Brigitte Macron a débuté en France, mettant en lumière une intox persistante depuis quatre ans. Dix personnes sont accusées d’avoir relayé la fausse information selon laquelle la Première dame serait un homme. Ce phénomène, appelé « tranvestigation », a également pris de l’ampleur aux États-Unis.

Ce qu’il faut retenir

Brigitte Macron est au cœur d’un procès pour cyberharcèlement impliquant dix accusés.
La rumeur selon laquelle elle serait un homme a circulé massivement sur les réseaux sociaux.
Ce phénomène a été popularisé par l’influenceuse MAGA Candace Owens, avec une série de vidéos visionnées jusqu’à 5,7 millions de fois.
La « tranvestigation » désigne la recherche de personnalités transgenres, souvent sans fondement.
Des accusations similaires ont touché d’autres femmes influentes, comme Michelle Obama et Jacinda Ardern.

Faits vérifiés

Des médias tels que France 24 et l’AFP ont confirmé que le procès de Brigitte Macron est le résultat de quatre ans de rumeurs infondées. Ces accusations, lancées par des internautes peu scrupuleux, ont été largement diffusées sur les réseaux sociaux, entraînant des plaintes pour diffamation de la part du couple Macron.

Le détail qui fait réagir

La série « Becoming Brigitte » de Candace Owens a généré entre 1,4 et 5,7 millions de vues, illustrant l’ampleur de cette désinformation.

Réactions officielles et citations

« Ces accusations sont non seulement fausses, mais elles portent atteinte à la dignité de Brigitte Macron. » — Avocat de Brigitte Macron, 2025.

Analyse & Contexte

Cette affaire soulève des questions sur la désinformation à l’ère numérique et son impact sur la vie des personnalités publiques. Le phénomène de la « tranvestigation » met en lumière un besoin urgent de régulation des contenus sur les réseaux sociaux, où des rumeurs peuvent se propager rapidement, affectant la réputation et la vie personnelle des individus.