Avortement en Europe : Amnesty International tire la sonnette d’alarme sur des politiques régressives

Mise à jour le 2025-11-06 01:01:00 : Amnesty International révèle que l’accès à l’avortement en Europe est de plus en plus restreint par des obstacles inquiétants.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Amnesty International dénonce des obstacles croissants à l’accès à l’avortement en Europe.
Qui est concerné : Femmes, communautés marginalisées, personnes LGBTIQ +, et travailleuses du sexe.
Quand : Rapport publié le 6 novembre 2025.
Où : Dans plusieurs pays européens, dont la Hongrie, l’Italie et la Turquie.

Chiffres clés

12 pays européens appliquent un délai d’attente obligatoire avant un avortement légal.
13 pays exigent des consultations de conseil pour les personnes enceintes.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Accès à l’avortement de plus en plus difficile en raison de politiques restrictives.
Démarches utiles : Vérifiez les lois locales sur l’avortement et les droits reproductifs.
Risques si vous n’agissez pas : Accès limité à des soins sûrs et légaux.

Contexte

Les droits reproductifs, y compris l’avortement, sont menacés par des mouvements réactionnaires en Europe. Amnesty International souligne que malgré des avancées, des obstacles administratifs, sociaux et pratiques persistent. Des pays comme la Hongrie et la Turquie imposent des conditions strictes aux femmes souhaitant avorter, augmentant ainsi les risques pour leur santé et leur sécurité.

Citation

« La dure réalité, c’est que malgré d’importants progrès réalisés en Europe, l’accès à l’avortement est toujours restreint par un ensemble perturbant d’obstacles visibles et invisibles. » — Monica Costa Riba, Amnesty International.