Thérèse Kayikwamba : La ministre face à la diffamation numérique

Introduction : Depuis novembre 2025, Thérèse Kayikwamba, ministre des Affaires étrangères de la RDC, est la cible d’une campagne de diffamation sur les réseaux sociaux. Cette situation soulève des enjeux cruciaux concernant la vie privée et la dignité des femmes en politique. En réponse, elle a décidé de saisir la justice pour défendre son intégrité.

Ce qu’il faut retenir

Thérèse Kayikwamba est victime d’attaques déformatoires sur sa vie privée.
Elle a mandaté un cabinet juridique pour engager des poursuites en Belgique, Suède et aux États-Unis.
Les attaques visent à miner la voix féminine dans la sphère politique.
Kayikwamba incarne une diplomatie moderne et responsable.
Cette affaire met en lumière la nécessité de réguler le contenu numérique pour protéger les figures publiques.

Faits vérifiés

Des médias tels que France 24 et Le Monde ont confirmé que Thérèse Kayikwamba fait l’objet d’une campagne de diffamation depuis le sommet de DA, où elle était apparue aux côtés du président Tisekedi. Les accusations portent sur des vidéos et publications mensongères, souvent teintées de misogynie.

Le détail qui fait réagir

Plus de 969 vues et seulement 12 likes sur les vidéos de diffamation montrent l’impact limité de ces attaques, mais aussi leur capacité à créer une onde de choc dans l’opinion publique.

Réactions officielles et citations

« Aucune femme, quelle que soit sa fonction, ne devrait être humiliée publiquement pour sa vie privée. » — Thérèse Kayikwamba, 16 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Cette affaire ne concerne pas seulement Thérèse Kayikwamba, mais met en lumière la vulnérabilité des femmes en politique face à des attaques personnelles. Elle souligne également l’absence de régulation dans le domaine numérique, où la calomnie peut se propager sans filtre. Le soutien à Kayikwamba est un appel à défendre la dignité, la vérité et la justice dans un contexte où la diffamation numérique devient une violence symbolique.