Agnès Giard, anthropologue : « Au Japon, l’amour virtuel sert de caisse de résonance au malaise de la population »

Cédric Balcon-Hermand
09.11.2025

Agnès Giard : l’amour virtuel au Japon, reflet d’un malaise social

Mise à jour le 2025-11-09 05:45:00 : Plus d’un Japonais sur trois est amoureux d’un personnage fictif. Cette tendance soulève des questions sur la réalité sociale au Japon.

Plus d’un Japonais sur trois déclare être amoureux d’un personnage fictif, selon l’anthropologue Agnès Giard. Ce phénomène pourrait être une manière d’enchanter une vie sans perspective. Il soulève des enjeux importants pour la société japonaise. La question de l’amour virtuel devient ainsi centrale dans le débat sur le malaise de la population.

Ce qu’il faut savoir

  • Le fait : Un Japonais sur trois est amoureux d’un personnage fictif.
  • Qui est concerné : La population japonaise.
  • Quand : Non précisé.
  • Où : Japon.

Contexte

Ce phénomène d’amour virtuel est analysé par Agnès Giard dans son ouvrage « Les Amours artificielles au Japon ». Il est perçu comme une réponse à un malaise social grandissant, où les relations réelles semblent de plus en plus difficiles.

Ce qui reste à préciser

  • Les implications psychologiques de cette tendance.
  • Les réactions de la société face à ce phénomène.

Citation

« Au Japon, l’amour virtuel sert de caisse de résonance au malaise de la population » — Agnès Giard, 2025.

Sources

Source : Le Monde

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Date de publication : 2025-11-09 05:45:00

Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.

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