Africa Facts 2025 à Dakar : fact‑checking africain face à la désinformation

Au sommet Africa Facts 2025 à Dakar, des fact‑checkers ont dressé l’état des menaces.

Le sommet s’est tenu cette semaine à Dakar.
Les participants ont débattu des outils numériques.
Ils ont cherché à vérifier images et publications virales.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Un sommet africain a mis l’accent sur le fact‑checking.
Qui est concerné : Journalistes, fact‑checkers, électeurs et utilisateurs de réseaux sociaux.
Quand : Chronique publiée le 3 octobre 2025 ; sommet début octobre 2025.
Où : Dakar, Sénégal ; première édition tenue en Afrique francophone.

Chiffres clés

28 septembre 2025 : date du scrutin en Moldavie cité dans le compte‑rendu.
3 octobre 2025 : date de publication du podcast et de la chronique RFI.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Vigilance accrue sur les publications liées à la santé et à la politique.
Démarches utiles : Consulter des articles vérifiés et suivre les équipes de fact‑checking citées.
Risques si vous n’agissez pas : Partager des fausses informations pouvant nuire à la santé publique ou aux choix électoraux.
Exceptions : Certaines rumeurs locales restent difficiles à trancher sans sources directes.

Contexte

Le sommet Africa Facts 2025 s’est tenu pour la première fois en Afrique francophone.
Des intervenants venus de plusieurs pays y ont partagé méthodes et outils.
Parmi eux : Bah Traoré (Wathi, Dakar), Assane Diagne (The Conversation, Dakar) et Hemès Nkwa (Yoheda, Cameroun).

Le rendez‑vous a aussi mis en lumière des lauréats du concours annuel.
Sont cités : Ariel Gbaguidi (La Nation, Bénin), Samad Uthman (AFP factuel, Nigeria) et Badra Dabbabi (She Checks, Tunisie).
RFI signale en outre des campagnes de désinformation autour d’élections, notamment en Moldavie et en Côte d’Ivoire.

Ce qui reste à préciser

Mesure précise de l’impact des campagnes de désinformation en Afrique francophone.
Détails méthodologiques sur l’attribution des ingérences évoquées en Moldavie.