Une université britannique cède aux pressions chinoises et suspend ses recherches sur les Ouïghours
Scandale à l’université Sheffield Hallam : recherches sur les Ouïghours suspendues sous pression chinoise
Mise à jour le 2025-11-04 22:15:00 : L’université Sheffield Hallam a suspendu ses recherches sur les Ouïghours. Cette décision soulève des inquiétudes quant à l’influence de la Chine sur les institutions académiques.
L’université Sheffield Hallam, au nord de l’Angleterre, est au cœur d’un scandale diplomatique avec la Chine. Sous pression de Pékin, l’université a suspendu les recherches de Laura Murphy, spécialisée dans le travail forcé des Ouïghours. Cette situation met en lumière les tensions entre la liberté académique et les intérêts politiques. Les recherches de Murphy sont considérées par Pékin comme de la propagande anti-chinoise.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : L’université Sheffield Hallam a suspendu des recherches sur les Ouïghours.
- Qui est concerné : Les chercheurs et les étudiants en sciences sociales.
- Quand : Non précisé.
- Où : Royaume-Uni.
Contexte
Cette décision de l’université Sheffield Hallam intervient dans un climat de tensions diplomatiques avec la Chine. Les recherches sur le travail forcé des Ouïghours sont sensibles et souvent critiquées par le gouvernement chinois. La suspension des travaux de Laura Murphy soulève des questions sur l’indépendance académique et la liberté d’expression dans les universités britanniques.
Ce qui reste à préciser
- Les raisons exactes de la suspension des recherches.
- Les réactions de la communauté académique et des étudiants.
Sources
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Date de publication : 2025-11-04 22:15:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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