Climat et conflits : la guerre empoisonne la terre et vice versa

Mise à jour le 2025-11-06 13:00:00 : Les conflits aggravent les crises environnementales, menaçant la sécurité alimentaire et la santé des populations.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Les dégâts environnementaux causés par les conflits poussent des populations vers la faim, la maladie et le déplacement. Inger Andersen, directrice du PNUE, a déclaré que 97 % des cultures arboricoles à Gaza ont disparu depuis 2023. L’eau est souillée par les munitions et les eaux usées. En Syrie, la destruction du barrage de Kakhovka a inondé plus de 600 km² de terres. En Haïti, l’érosion et la pollution des eaux font resurgir le choléra.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les conflits aggravent les crises environnementales.
Qui est concerné : Les populations de Gaza, de Syrie et d’Haïti.
Quand : Depuis 2023, avec des impacts croissants.
Où : Gaza, Syrie, Haïti.

Chiffres clés

97 % des cultures arboricoles à Gaza disparues depuis 2023.
61 millions de tonnes de débris à déblayer à Gaza.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Augmentation des risques de famine et de maladies.
Démarches utiles : Suivre les recommandations des ONG sur la sécurité alimentaire.
Risques si vous n’agissez pas : Aggravation des crises humanitaires.

Contexte

Les guerres causent des dommages étendus à l’environnement, appauvrissant les sols et empoisonnant les nappes phréatiques. Les Conventions de Genève interdisent ces pratiques, mais le seuil de preuve est trop élevé pour être appliqué efficacement.

Ce qui reste à préciser

Les mécanismes de suivi des dommages environnementaux sont insuffisants.
La reconnaissance du crime d’écocide reste à établir dans le droit international.

Citation

« Les dégâts environnementaux causés par les conflits poussent des populations entières vers la faim, la maladie et le déplacement – augmentant l’insécurité. » — Inger Andersen, directrice du PNUE, 2025.